Des défis pour l’aquaculture canadienne
Dans sa chronique régulière dans La Presse, le plus grand quotidien de langue française de l’Amérique du Nord, le président de AIMS, Brian Lee Crowley observe que, dans les faits, l'aquaculture canadienne est contrôlée par une bureaucratie inepte et lourde, ne voyant que le développement économique à court terme et disposant d'un pouvoir discrétionnaire qui plie volontiers devant la force politique d'intérêts établis. Si la discrétion administrative peut s'exercer de manière si ample en matière d'aquaculture, c'est en partie parce qu'il n'existe pas de statuts fédéraux ou provinciaux au Canada touchant cette pratique.